Un moment pour Soi
Un moment pour Soi

Actualités

J'ai fait un rêve....

J'ai fait un rêve dans lequel chacun pouvait s'exprimer librement et sans jugement,

J'ai fait un rêve où chacun avait les mêmes droits avec une justice impartiale pour tous,

J'ai fait un rêve où chacun venait en aide à son prochain dans le besoin et sans condition,

 

Oui, je crois bien que j'ai seulement rêvé qu'il existait un pays dont les valeurs étaient

"LIBERTE EGALITE FRATERNITE" !

Carine 17.8.21 (avec une pensée pour Martin Luther King)

Texte de White Eagle de la nation Hopi

« Ce que l'humanité traverse en ce moment peut être considéré comme un portail et un trou noir. La décision de tomber dans le trou noir ou de passer par le portail dépend de vous.
S'ils se repentent du problème et consomment les informations 24 heures sur 24, avec peu d'énergie, nerveux tout le temps, avec pessimisme, ils tomberont dans le trou.
Mais si vous saisissez cette occasion pour vous regarder, repenser la vie et la mort, prendre soin de vous et des autres, vous traverserez le portail.
Prenez soin de votre maison, prenez soin de votre corps. Connectez-vous avec le corps central de votre maison spirituelle. Connectez-vous à l’égrégore de votre foyer spirituel. Corps, maison, corps moyen, maison spirituelle, tout cela est synonyme, c'est-à-dire la même chose. Lorsque vous en prenez soin, vous vous occupez de tout le reste.
Ne perdez pas la dimension spirituelle de cette crise, ayez l'aspect de l'aigle, qui d'en haut, voit le tout, voit plus largement. Il y a une demande sociale dans cette crise, mais il y a aussi une demande spirituelle. Les deux vont de pair.
Sans la dimension sociale, nous tombons dans le fanatisme. Mais sans la dimension spirituelle, nous tombons dans le pessimisme et le manque de sens.
Vous étiez prêt à traverser cette crise. Prenez votre boîte à outils et utilisez tous les outils à votre disposition.
Apprenez-en davantage sur la résistance des peuples autochtones et africains: nous avons toujours été et continuons d'être exterminés. Mais nous n'avons toujours pas cessé de chanter, de danser, d'allumer un feu et de nous amuser.
Ne vous sentez pas coupable d'être heureux pendant cette période difficile. Vous n'aidez pas du tout en étant triste et sans énergie. Cela aide si de bonnes choses émanent de l'Univers maintenant.
C'est par la joie que l'on résiste.
De plus, lorsque la tempête passera, vous serez très important dans la reconstruction de ce nouveau monde. Vous devez être bien et fort. Et, pour cela, il n'y a pas d'autre moyen que de maintenir une vibration belle, heureuse et lumineuse.
Cela n'a rien à voir avec l'aliénation. Il s'agit d'une stratégie de résistance.
Dans le chamanisme, il existe un rite de passage appelé la quête de la vision. Vous passez quelques jours seul dans la forêt, sans eau, sans nourriture, sans protection. Lorsque vous passez par ce portail, vous obtenez une nouvelle vision du monde, car vous avez affronté vos peurs, vos difficultés…
C'est ce qu'on vous demande.
Laissez-les profiter de ce temps pour effectuer leurs rituels de recherche de vision. Quel monde voulez-vous vous construire?
Pour l'instant, voici ce que vous pouvez faire : la sérénité dans la tempête.
Calmez-vous et priez. Tous les jours.
Établissez une routine pour rencontrer le sacré tous les jours. De bonnes choses émanent, ce que vous émanez maintenant est la chose la plus importante.
Et chantez, dansez, résistez par l'art, la joie, la foi et l'amour."

Solstice

J’ai envie de célébrer avec vous ce 21 décembre prochain qui porte un si joli nom : solstice d’hiver !

Il résonne comme une musique, une clé de sol dans l’actualité plutôt morose de cette fin d’année.

Il est plein de promesses de changements, annoncés depuis la nuit des temps : l’ère du verseau !

Les conjonctions astrologiques ont révélé cette année des évènements dans l’actualité planétaire,

Et il me tient à cœur de nous souhaiter une fin d’année sereine nous permettant de faire des choix

En accord avec nos valeurs profondes pour attirer et rayonner ce qui est important pour nous,

Tout en ayant conscience de ce qu’il y a lieu de laisser se consumer pour faire de la place…

Laissons la vie s’exprimer en nous dans toute sa splendeur et son mystère

et dans la magie de l’INSTANT PRESENT!

Carine (18/12/20)

En ces temps de grandes incertitudes, une profonde prise de conscience nous est proposée : un bilan de notre vie, la réalité de nos peurs, de nos attachements, de nos valeurs, de notre élan de vie, comment avons-nous pris soin de nous et de notre planète jusqu'ici...il n'y a ni dedans ni dehors, tout reflète ce que nous sommes et l'énergie nous montre en permanence avec sa grande bienveillance les voies du changement qui se font de plus en plus pressantes...Ecoutons avec attention ce qu'elle nous dit....et reconnaissons avec sincérité et humilité nos égarements pour prendre les décisions qui simposent....des voix qui s'élèvent se font son écho et l'une d'entre elles m'a interpellée particulièrement (Texte de Fred Vargas ci-dessous repris le 21 mai 2020 et lu par Charlotte Gainsbourg dans la vidéo "maintenant ou jamais") :https://www.youtube.com/watch?v=w3qbkV-SdxQ&feature =youtu.be

"Nous y voilà, nous y sommes. Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l’incurie de l’humanité, nous y sommes.

Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l’homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu’elle lui fait mal. Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités d’insouciance. Nous avons chanté, dansé.  Quand je dis « nous », entendons un quart de l’humanité tandis que le reste était à la peine.

Nous avons construit la vie meilleure, nous avons jeté nos pesticides à l’eau, nos fumées dans l’air, nous avons conduit trois voitures, nous avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du bout du monde, nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les nuits, nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie, créé des clones, franchement on peut dire qu’on s’est bien amusé.

On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles, comme faire fondre la banquise, glisser des bestioles génétiquement modifiées sous la terre, déplacer le Gulf Stream, détruire un tiers des espèces vivantes, faire péter l’atome, enfoncer des déchets radioactifs dans le sol, ni vu ni connu.

Franchement on s’est marré. Franchement on a bien profité.

Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu’il est plus rigolo de sauter dans un avion avec des tennis lumineuses que de biner des pommes de terre. Certes.

Mais nous y sommes.

A la Troisième Révolution.

Qui a ceci de très différent des deux premières (la Révolution néolithique et la Révolution industrielle, pour mémoire) qu’on ne l’a pas choisie. « On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? » demanderont quelques esprits réticents et chagrins.

Oui.

On n’a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas demandé notre avis.

C’est la mère Nature qui l’a décidé, après nous avoir aimablement laissés jouer avec elle depuis des décennies.

La mère Nature, épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets.

De pétrole, de gaz, d’uranium, d’air, d’eau.

Son ultimatum est clair et sans pitié :

Sauvez-moi, ou crevez avec moi (à l’exception des fourmis et des araignées qui nous survivront, car très résistantes, et d’ailleurs peu portées sur la danse).

Sauvez-moi, ou crevez avec moi.

Evidemment, dit comme ça, on comprend qu’on n’a pas le choix, on s’exécute illico et, même, si on a le temps, on s’excuse, affolés et honteux.

D’aucuns, un brin rêveurs, tentent d’obtenir un délai, de s’amuser encore avec la croissance. Peine perdue.Il y a du boulot, plus que l’humanité n’en eut jamais.

Nettoyer le ciel, laver l’eau, décrasser la terre, abandonner sa voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours blancs, éteindre en partant, veiller à la paix, contenir l’avidité, trouver des fraises à côté de chez soi, ne pas sortir la nuit pour les cueillir toutes, en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon là où il est, - attention, ne nous laissons pas tenter, laissons ce charbon tranquille - récupérer le crottin, pisser dans les champs (pour le phosphore, on n’en a plus, on a tout pris dans les mines, on s’est quand même bien marrés).

S’efforcer. Réfléchir, même.

Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être solidaire.

Avec le voisin, avec l’Europe, avec le monde.

Colossal programme que celui de la Troisième Révolution.

Pas d’échappatoire, allons-y.

Encore qu’il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui l’ont fait le savent, est une activité foncièrement satisfaisante.

Qui n’empêche en rien de danser le soir venu, ce n’est pas incompatible.

A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le retour de la barbarie - une autre des grandes spécialités de l’homme, sa plus aboutie peut-être.

A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution. A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons encore."

Fred Vargas – 2008 (reprise 21 mai 2020)

 

 

 
 coordonnées:

 Carine Hirlemann

 Maître REIKI
 initiée en 2010
 


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